Petits conseils pour réussir les concours

Holà Chicas ! Comme vous le savez, je suis une grande accro à la compétition et avec mes 80 parcours d'expérience je pense être assez bien placée  pour vous donner quelques petits tuyaux. Utiles j'espère




1) On se couche tôt la veille !

C'est THE conseil que l'on nous rabache depuis toujours, surtout par les mamans qui au final sont plus stressées que nous. Sérieusement, passer une bonne nuit c'est super important. Alors les fiestas jusque 2h30 du matin pour se réveiller à 5h avec la gueule de bois en plus dans le pire des cas, c'est à éviter. A part si vous êtes adepte du mode zombie, soit.


2) On mange le matin ! 

Idem que le précèdent, je ne vous apprends rien, mais c'est suppra-important ! Forcez vous à manger quelques chose le matin, ou au minimum prenez un sucre avant le coup d'envoi. Ça évitera aux organisateurs d'appeler les pompiers parce-que mademoiselle a fait un malaise sur son poney parce-qu'elle n'a rien avalé. Ça sent le vécu. Ça serait quand même bête de louper son concours pour ça non ? 



3) La check list 
 
Quoi de pire pour être stressé que d'oublier sa selle ou sa bombe ? Moi même étant très tête en l'air, j'ai trouvé la solution : je vais une liste, de TOUT ce que je dois prendre, de la selle au cure pied. Je vérifie tout avant de partir et hop, pas d'oublis!


4) On prépare ses affaires la veille

Rien de pire que de préparer ses affaires le matin en vitesse, dans le noir, à 5h du mat dans certains cas alors qu'on est encore un peu en mode somnambule, à moitié réveillé. On a alors affaire aux surprises du genre Oups, j'ai pris une sangle 85 cm pour mon cheval de 1m80 !. Alors le mieux c'est de les préparer la veille, au calme, sans vous presser. Comme ça vous n'oubliez rien, et si vous êtes dans le coltard le lendemain c'est pas grave !


5) On n'arrive pas en retard ni trop en avance

Comme dit précédemment, arriver en retard est un facteur de stress supplémentaires, devoir courir à droite à gauche parce-que vous êtes en retard ça va pas vous aider.
De même, être trop en avance, se mettre trop tôt à cheval, c'est devoir le marcher pendant parfois très longtemps. Alors oui, marcher son cheval c'est utile, mais pendant une heure non . Personnellement c'est quand je suis en attente comme ça que je stresse.
 En moyenne, on compte 10 numéros pour détendre un cheval
La reco c'est la même chose, je préfère arriver dès l'ouverture, pour pouvoir prendre le temps de la marcher au moins deux fois, et de bien la mémoriser.


6) Observer les autres concurrents


Observer les autres et un bon moyen de réviser et de mémoriser son parcours, mais aussi de repérer les erreurs récurrentes, les pièges, pour ensuite les éviter. De même, si en attendant à la porte un autre cheval passe avant vous, le regarder et se remettre dans le parcours c'est que du  bénéfice !


7) On dédramatise ! 

Rassurez vous, ce n'est pas les jeux olympiques, il y a pas 500 milles euros à gagner. Les concours c'est avant tout pour s'amuser, si vous n'aimez pas, autant arrêter tout de suite. On ne peut pas réussir à chaque fois, il suffit de regarder les grands cavaliers pour s'en rendre compte. La question n'est pas Olala je suis tombée je suis nulle ! Mais Pourquoi je suis tombée ? Comment faire mieux la prochaine fois ?
Les concours sont formateurs, il faut apprendre de nos erreurs pour pouvoir décrocher le sans fautes ! Ca peut prendre plus ou moins de temps, à titre d'exemple, j'ai fais mon premier sans-fautes avec MicMac au bout de 8mois. Alors ne vous inquiétez pas.
 

8) On choisit une épreuve à son niveau

On choisit une épreuve à notre niveau et à celui du poney. Si on n'est pas régulièrement sans-fautes sur une club 3 ça ne sert à rien de s'engager sur une club 2.
De la même façon, on n'est pas obliger de n'avoir que le sans-fautes comme objectif. Pour le première fois, on peut seulement se dire de terminer le parcours, la fois suivante de faire sans-fautes, la fois d'après de couper un peu plus ...

Le mot de la fin: AMUSEZ-VOUS ! 
Les concours, c'est surtout un bon moment à passer entre amis et en famille !
 


Je ferais prochainement un article sur l'évolution du parcours de Mic-Mac et moi en concours, vous verrez que ça vaut le coup de ne pas abandonner.

Le Hunter, c'est quoi ça ?

Holà Chicas ! Je reviens aujourd'hui pour vous présenter une discipline que j'ai pratiqué en compétition pendant un an avec Mic-Mac à savoir le Hunter !

On se moque pas j'ai une tête de baby là dessus.


 Le Hunter, céquoiça ?
 En fait c'est pas bien compliqué, c'est le principe du dressage appliqué au saut d'obstacles.

En Hunter, pas de chronomètre, le gagnant est celui qui obtient la meilleure note, car comme en dressage, il y a un protocole.

Il existe 2 types d'épreuves Hunter:
- Figures imposées : tous un tas de petits exercices à faire: slalom, saut au trot, repasser au pas dans telle zone, faire un cercle à tel endroit,saut en biais, etc.
-Maniabilité: souvent des contrats de  foulées, et des passages imposés qui nous obligent à tourner assez court.
La plupart du temps, les épreuves sont mixtes, elles mélangent les deux.

Je vous mets ici une ancienne vidéo de Mic-Mac et moi en Hunter pour vous montrer à quoi ça ressemble Excusez ma gamine attiude, c'était il y a trois ans ahah 


Comment se déroule une épreuve ? 
- Le parcourt, en plus des sauts et composés de contrats qui peuvent être divers et variés, comme dit plus haut : saut en biais, slalom, contrat de foulés ...
Les contrats comptent sur 40 sur la note finale, à chaque contrat échoué, on perd des points. 

- Le parcourt doit commencer et se terminer par un cercle

- Les juges notent comme en dressage, la position du cavalier, l'impulsion du cheval, il est aussi très important d'être sur le bond pied , les fautes d'abords (petits pieds, gros sauts) retirent aussi des points. Le but est de faire le parcourt le plus propre possible.

Voici un protocole pour vous donner une idée:



Quelle tenue pour le Hunter ? Le plus sobre et le plus discret possible ! 

Le Hunter est très pointilleux sur la tenue, la panoplie rose on oublie !
-Le cheval doit avoir la queue et la crinière natée.
-Pantalon uni sobre, (on évite le blanc) de préférence noir, beige ou marron
- Résille dans les cheveux
- Gants obligatoires
- Tapis en forme de selle ou pas de tapis, toujours dans des couleurs sobres

Un magnifique exemple de serrage de genoux et de jambe qui fout le camp !


Mon expérience avec le Hunter.

Le hunter m'a permis de me mettre tout doucement au concours d'obstacles en douceur et sans stress. Il m'a apprit à monter des parcours propres, (pas à la sauvage si vous voyez ce que je veux dire). Ceci peut paraître paradoxal, mais le Hunter m'a permis d'apprendre à faire des sauts en biais et à tourner court, ce qui m'a aidé par la suite pour le CSO. Il faut également dire que le protocole permet de situer notre équitation, jugée par un regard extérieur, ce qui permet de corriger nos défauts et de progresser.
 Commencer la compétition par le Hunter serait à mon avis un bon moyen de ne plus voir les horreurs que l'on peut croiser sur les terrains de CSO. Car rapidité ne rime pas avec précipitation, à bon entendeur !

Interview: Avec ou sans mors?


Interview : Avec ou sans mors ?

L’année dernière je vous avais présentée une ESOLUD autour du sans mors. Chacun y avait exprimé son expérience. J’ai donc décidé d’interroger trois youtubeuse /Bloggeuse sur leurs avis et expériences avec le sans mors, je leurs ai posé quelques questions. Je vous livre leurs réponse ici. Toute les trois sont très différente, vous trouverez peut être une histoire semblable à la votre chez chacune d’elle.
 Je m’appelle Eline, j'ai 18 ans, je possède mon galop 6 depuis 2011, je monte en club depuis environ 8 ans et je sors en compétition de CCE depuis 2010. J'ai participé aux championnats de France deux fois et j'ai eu plusieurs demi-pensions.

Je monte Bobby depuis avril 2013, c'est un connemara de 8 ans qui toise 1m47. C'est un poney très polyvalent avec beaucoup de potentiel, notamment en CSO. Il y  beaucoup de travail à faire en dressage avec lui car il connait à peine les bases.


Je suis Axelle, j’ai 21 ans, et 17 ans d’équitation derrière moi. Principalement cavalière de dressage et de concours complet. Je suis propriétaire depuis janvier 2012 de Star Malta, une pur sang anglais de 9 ans, réformée de course de steeple chase depuis ces 3 ans. Elle est reconvertie en cheval de complet.





Je suis née le 27 mai 1982 dans une famille de cavaliers. J'ai commencé l'équitation sur poney à 5 ans. A 13-14 ans, j'avais passé 7 premiers galops et voyant que je stagnais mes parents m'ont envoyé faire un stage avec leur ancien instructeur, qui avait été celui de mon grand-père (96 ans et ancien écuyer du cadre noir). C'est à ce moment là que j'ai réellement commencé à monter dans le respect du cheval et en légèreté. De 14 à 18 ans je travaillais des chevaux de propriétaires afin de les sortir en compétition (CSO, hunter, CCE et dressage). A 18 ans je suis passée en amateur et durant 1 an j'ai cherché un cheval. En juin 2001, mes parents m'ont acheté Generoso (PRE) avec lequel je suis sortie en amateur en CSO et CCE et jusqu'en pro 2 en dressage, ainsi qu'en spectacles. En 2002, j'ai passé mon galop 8 (sauf le CSO et cross), ainsi que le monitorat afin d'enseigner en cours particuliers et stages. En juin 2007, j'ai perdu ma "moitié" ce qui a faillit me faire arrêter le cheval. Fin décembre de la même année, mes parents m'ont acheté Esparo (PRE). Il était tellement à reprendre et n'aimait tellement pas travailler que je n'ai jamais pu sortir en compétitions ou spectacles. Mon cheval actuel, il s'appelle Esparver (dit Esparo). C'est un pur race espagnole, gris moucheté, hongre, de 19 ans, qui toise environ 1m62 au garrot.


Pense tu qu’un cheval puissent travailler aussi bien avec que sans mors ? 
Axelle : Si c'est le moyens qui lui convient oui, je pense que tout les chevaux peuvent très bien travailler et jusqu'à haut niveau peu importe le type d'embouchure, du moment que c'est ce qu'il lui faut et ce qui le rend le plus à l'aise
Véronique : Un cheval peut aussi bien être monté sans mors qu'avec, en fonction du travail demandé et du niveau du cavalier. Pour un travail simple et occasionnel, sur une monture calme et habituée, tout le monde peut monter sans mors. Cependant, dès que l'on pousse un peu plus loin nos exigences, il devient vite indispensable, sauf quelques exceptions (Clémence Faivre, Alizée Froment...) qui sont d'excellents cavaliers de dressage, maîtrisant à la perfection leur assiette, jambes et fonctionnement du cheval.
Eline : Oui je pense qu'un cheval peut aussi bien travailler avec ou sans mors. Tout dépend du niveau du cavalier, de ses "connaissances" sur la monte sans mors et du travail du cheval. Prenez l'exemple d'Andy Booth, quand on le regarde monter ses chevaux, c'est vraiment impressionnant, on voit que ses chevaux travaillent et sont totalement concentrés. Mais si on prend un cavalier avec un niveau lambda qui monte sans mors juste pour monter sans mors, et qui ne s'y connait pas ou qui ne sait pas comment travailler sur l'engagement d'un cheval, je trouve ça un peu "inutile" et à ce moment-là, le cheval ne travaille pas aussi bien qu'avec un mors.

Pense tu qu’un cheval puisse être monté avec les deux types "d'embouchure"?
Axelle : Pourquoi pas oui, comme nous ils ont leur humeur, un cheval qui bosse mieux au quotidien avec un mors peut avoir envie de changer de temps en temps et d'être plus allégé. C'est comme tout, il ne faut pas abuser, alterner de temps en temps peut permettre de casse la routine du cheval et aussi de voir d'une autre manière si le travail que l'on fait est efficace.
Véronique : Je pense en effet qu'un cheval peut-être monté avec et sans mors. Contrairement aux hommes, les animaux ont une sensibilité beaucoup plus développée, leur permettant ainsi une incroyable facilité d'adaptation. Mais attention, tous les chevaux ne coopèrent pas de la même façon et certains seront plus réticents que d'autres à travailler sans leur cadre habituel. De même pour de jeunes chevaux ou chevaux difficiles, je ne préconiserai pas l'usage du « sans mors ».
Eline : Oui je pense qu'un cheval peut être monté avec et sans mors ! Après je ne m'y connais pas à 100% dans la matière, mais je pense que celà peut être bien pour un peu "casser la routine" et varier le travail du cheval. Je pense aussi qu'il faut bien connaitre le cheval et y aller progressivement, par exemple on ne va pas partir directement en balade sans mors et sans rien directement alors que le cheval a toujours été monté en filet. Mais oui je pense que cela est totalement possible. Par contre il faut aussi s'y connaitre un minimum car pour ceux qui veulent monter sans mors, un peu en mode éthologie et tout (c'est un peu un phénomène de mode ces dernières années d'ailleurs). Il ne faut pas prendre ça à la légère car les effets d'un licol éthologique ou d'une cordelette ne sont pas anodins pour le cheval, il y a des points de pression sur le cheval et il faut donc se renseigner avant d'adopter ce style de monte.

A qui conseillerais tu le sans mors ?
Axelle : Je ne conseil à personne car pour moi ce n'est pas un outil qu'on choisit par envie ou mode, mais en fonction du cheval, après avoir vu un dentiste qui confirmerait d'éventuelles gênes du cheval, ou juste par évidence (un cheval qui serait pris des sacré coup de latte dans les dents par exemple et qui aurait du coup peur du mors, dans un but de rééducation douce)
Véronique : Je conseillerai le « sans mors » à tous les cavaliers, à partir du moment où cela reste une découverte, leur permettant d'enrichir leurs sensations équestres. Le « sans mors » n'est pas pour moi une fin en soit mais plutôt un moyen de changer ses perceptions et d'être plus à l'écoute de sa monture. Cependant, je ne pense pas que tous les cavaliers peuvent réellement et sans aucuns risques travailler correctement un cheval sans mors.
Eline : Je conseillerai la monte sans mors à des cavaliers expérimentés qui veulent "se rapprocher" de leur monture, développer un autre genre de complicité et tester une "autre forme" de monte, une autre approche et d'autres sensations. Et je la conseillerai idéalement à des cavaliers propriétaires ou des cavaliers qui connaissent bien le cheval qu'ils veulent monter sans mors. Evidemment, la monte sans mors ne s'adapte pas non plus à toutes les disciplines, je me vois mal partir sur une épreuve de cross sans un mors par exemple. Ainsi pour un cavalier complétiste il me semble difficile de monter constamment sans mors. Mais de temps en temps, sur d'autres disciplines telles que le saut, le plat ou la balade, pourquoi pas. Après on pourrait aussi envisager que des cavaliers débutants puissent monter sans mors, avec un side-pull par exemple et avec des chevaux habitués à ce type de monte. Je m'explique : cela éviterait à ces cavaliers débutants de se raccrocher à la bouche du cheval (cas fréquent) et ainsi se concentrer sur leur position et ainsi contourner le problème réccurent de "la bouche dure des chevaux de club". Finalement, après 1 ou 2 ans d'équitation, ils comprendraient qu'ils ne sont pas obligés de tirer comme des brutes pour arrêter un poney, et que l'action sur le mors se doit d'être modérée.

As-tu déjà essayé, quand à tu pensée ?
Axelle : J'ai déjà essayé, mais ce n'était absolument pas concluant. J'ai une jument qui a assimilé depuis très tôt (débourrée sous la selle à 18 mois pour les courses) le fait que le mors signifie le travail et le licol le repos. Elle a trouvé son confort comme ça, vu qu'elle est proche de l'homme et adore travailler, pour elle le mors n'est absolument pas une contrainte, elle vient d'elle même le prendre et trépigne toujours à aller bosser, ça la rassure en quelques sorte. Comme montrer la laisse au chien quoi. Et du coup à l'inverse du fait que pour elle le licol signifie le repos, elle panique et est perdue quand je tente de la faire travailler sans mors, elle ne comprend pas. En plus de ça elle supporte très mal les pression sur le chanfreins, j'ignore si c'est de la douleur ou une peur quelconque mais ce qui est sûr c'est que ce n'est pas une partie de plaisir pour elle, par exemple il m'est impossible de la longer en licol. Et du fait de notre discipline je ne préfère pas trop l'habituer, ma discipline (le CCE) nécessite quand même un fort contrôle par sécurité et de toute façon le sans mors n'y est pas admis. J'ai appris à composer en mors, en tentant d'agir au plus confortable: mains douce et mors adapté et ça nous convient bien comme ça.
Véronique : Sincèrement, je n'ai jamais réellement travaillé mon cheval sans mors. Il s'agissait plus de séances sur le plat ou sur des obstacles ne dépassant pas le mètre vingt. Pour moi, le travail sans mors doit rester de l'occasionnel car certes nous n'agissons pas sur la bouche du cheval mais sur son chanfrein, qui est tout aussi sensible aux actions de mains du cavalier. Faut-il réellement remplacer un mal par un autre mal, sous prétexte qu'il nous donne bonne conscience ?
Eline : Je n'ai jamais réellement monté sans mors (ni en licol, ni en cordelette, ni en liberté totale). Mis à part les fois ou on ramène les poneys au pré à cru et en licol chez une amie (ce n'est donc par du travail haha), ou alors juste une petite balade au pas ! De ce fait je n'ai pas vraiment d'avis. Mais je pense que ce n'est pas une mauvaise chose, c'est juste une approche différente de l'équitation dite "classique". Après, beaucoup de personnes qui pratiquent la monte sans mors critiquent le mors et ses actions. Sauf que, depuis la nuit des temps les cavaliers montent leur chevaux avec des mors (plus ou moins durs). Si les chevaux souffraient réelement, comme le prétendent certains de ces cavaliers, ils nous l'auraient fait savoir d'une manière ou d'une autre. Finalement, je pense que ce sont deux façons différentes d'aborder l'équitation, et toutes deux sont respectables si elles sont faites dans le respect de l'équidé.

Je remercie les trois filles qui ont participer, si tu le souhaite, tu peu toi aussi répondre au questions en commentaire.

Le Paris Eiffel Jumping, le bon plan en or à ne pas rater.

Comme certains le savent, je suis une GRANDE fan de CSO, et un de mes plus grand plaisirs et d'aller assister à des compétitions internationales de Jumping.
J'ai la chance dans ma région de profiter de quelques CSI à deux ou trois étoiles gratuitement, à Hardelot et Strazeele par exemple. Seulement on ne peut y observer que quelques cavaliers français ( Kévin Staut, Simon Delestre...) et pas tout le gratin de l'élite du CSO.

J'ai plusieurs fois essayé de trainer mes parents au Gucci au salon du cheval, mais à 80 euros la place c'est foutu. Il faut dire que les places pour les CSI***** ça coûte la peau des fesses.

Mais oh bonheur j'ai trouvé la solution : Le Paris Eiffel Jumping qui se tiendra les 3, 4 et 5 juillets 2015.

Incroyable mais vrai, toutes les places pour assister à cet évènements sont GRATUITES ! Non non vous ne rêvez pas ! Et sur le champs de Mars, au pieds de la Tour Eiffel en plus. Si c'est pas beau ça ?
Le concours propose plusieurs épreuves de haut niveau : contre la montre (1m50), épreuves des 6 barres et surtout le Grand prix Longines Global Champion Tour de Paris (1m60). Autrement dit, du niveau des épreuves du dimanche diffusées sur Equidia.
Seulement il y a un mais. (Faut pas trop rêver quand même). Le nombre de place est limité. Il faut les commander sur internet, le jour J, à l'heure H. Et c'est 4 places maximum par personne. Mais si c'est gratuit, ça vaut le coup de tenter non ?

Rendez-vous alors sur le site du Paris Eiffel Jumping pour connaître les sessions pour commander vos places. (l'année dernière c'était fin mai, début juin)

Profitez en, xoxo.

Source: Equidia